samedi

Chapelle ST Roch : Van Qué

Michel Plasson et les violoncellistes

Pots et draperies Année 1989
Acrylique sur toile
205*130


Louis-Jean GAL : Van Qué

VAN QUÉ, LE PEINTRE DE LA VIE

Louis-Jean Gal. Artiste peintre.
*  *  *
C’est avec un égal bonheur que le peintre Van Qué utilise tous les moyens plastiques mis à sa disposition ; que ce soit l’huile L’aquarelle, les encres, etc. Dans chaque matière il impose sa marque, il les plie à sa volonté
Il traduit les atmosphères, la nature, les êtres dans ce qu’ils ont de plus intimes, de plus secrets.
Ce qui était invisible devient présent, les scories disparaissent, la vérité s’impose.
 Il ne se contente, pas, et c’est ce qui fait sa grandeur, de traduire les choses, de mettre en évidence ce qui était caché, il y apporte sa marque : il y ajoute la vie.
Pourquoi, dans la multitude des peintres qui jalonnent l’histoire de l’ART, si peu ont défié le temps ? Des peintres qui possédaient leur métier à fond, qui traduisaient dans les plus petits détails la vision objective de l’œil en y ajoutant la complaisance qui plairait à leurs commanditaires ?
Ils ont disparus comme disparaîtront les faux prophètes d'aujourd’hui, ils ont disparus car leurs peintures étaient stériles. Le manque de souffle, le manque de vision, de grandeur, le manque d’horizon les prédestinaient inexorablement à l’oubli. Atteint d’une obsolescence fatale, ayant perdu tout intérêt plastique, leurs œuvres pour certains, subsistent encore comme jalon dans les manuels d’histoires pour marquer une époque décadente. Il manquait à leur œuvre, l’élément essentiel : la vie.
Aujourd’hui, le peintre est à la croisée des chemins, de toutes les époques c’est certainement la plus difficiles que traverse l’Art la peinture en particulier. Elle est devenue une valeur refuge.  Elle a perdu sa destinée première : s’offrir aux regards, on ne la montre plus, on la stocke dans des coffres en banques.   Les dérives sont telles, que la valeur plastique n’est plus le critère essentiel, la valeur marchande l’a remplacé.   
Beaucoup de peintres, du moins qui se prétendent tels, courent après la mode, après, les « tendances, les styles » pour se faire remarquer, exploitent les systèmes. C’est à celui qui choquera le plus. Les boudins de plastiques sont une nouvelle manne   pour les créateurs inspirés.
On construit des Temples à la gloire de ces horreurs qu’accompagne leurs inévitables prothèses littéraires que viennent contempler en masse ‘les amateurs avertis’ !
Que l’on ne se trompe pas, la vérité et ailleurs, même si l’amateur n’a jamais pondu d’œuf il est capable de reconnaître un œuf pourri.
L’Art c’est la vie.  C’est porter témoignage, Il faut revenir à la source.

C’est en cela que l’œuvre de Van Qué prend toute sa dimension
Elle éclaire la voie.
Elle apporte des réponses.
Il s’écarte des chemins battus, il met au service de l’Art ses qualités de chercheur. Il regarde toutes choses sans a priori ; il analyse, il déduit, il crée.
Rien n’échappe à son œil d’aigle. Il naît tous les jours, il découvre chaque jour sans préjugé ce qu’il a vu la veille. Il se remet en question en permanence, c’est sa nature, Il nous fait découvrir tout un monde insoupçonné qui était là sous nos yeux.
Le Carnaval Romain en est un bel exemple. C’est une des œuvres majeure de Van Qué. Majeure par sa dimension et majeure par ses qualités picturales, sa composition.
Nul besoin d’explication, elle s’impose au premier regard. Avant de comprendre on est saisi par le foisonnement, la chaleur, la vie qui habite cette toile.
Ne nous y trompons pas, cette spontanéité, cette fulgurance et le fruit d’une longue expérience acquise par des années de travail. Cette aisance est devenue naturelle : L’esprit commande, l’œil voit, la main exécute. Ce pandémonium joyeux est régi par le, les fils souterrains d’une composition très stricte qui permet de structurer l’ensemble et lui donner la stabilité.
Cette toile s’inscrit dans le long processus de l’ensemble de l’œuvre de van Qué;
elle n’est pas sujette aux fluctuations de la mode
.
Le sujet, très présent reste subordonné à la loi interne de la toile : Le temps passera sans que l’on ait à craindre son obsolescence.
Cette œuvre foisonnante de vie, est bien dans la manière de Van Qué : les dieux étaient présents à sa naissance, tout ce que touche son pinceau s’anime !

Van Qué est bien le peintre de la vie.


Louis-Jean Gal. Le 16 octobre 2014 

Van Qué et la presse

Spontanéité et Sincérité
Louis- Jean GAL – Artiste peintre


Son travail est d’une spontanéité inouïe tout en possédant en lui les qualités qui nécessiteraient des heures de doutes et de réflexions. Ses peintures séduisent sur le moment et à jamais ! On pourrait dire en employant une métaphore sportive : que Van Qué est un champion du cent mètres et un incroyable coureur de fond.

Toutes les techniques lui sont familières, c’est avec  autant de bonheur qu’il travaille l’huile, l’acrylique, la gouache ou l’aquarelle. Surtout l’aquarelle qui correspond bien à son tempérament d’homme pressé. Attention, l’aquarelle chez lui n’est pas un genre mineur ! Il a une maîtrise dans ce domaine rarement atteinte. C’est toujours un ravissement de voir avec quel bonheur il réussit à capter les instants éphémères de la vie dans leur plénitude en laissant au spectateur la porte entrebâillée vers l’imaginaire : ses œuvres sont toujours un commencement, jamais une fin !

Ses aquarelles touchent parfois au non figuratif, quelques touches de couleur suffisent à équilibrer un ensemble et cela tient du miracle : un trait de plume vient prendre le spectateur par la main et l’entraîne vers la pensée secrète du peintre.



2006 - Louis-Jean GAL - Extrait

Van Qué et la presse

SES ŒUVRES SONT « TRÈS DENSES, TRÈS LIBRES,
TRÈS ACCESSIBLES.

PREMIER FESTIVAL D’AQUARELLE 2003 de Brioude


juste une énergie vitale créatrice époustouflante qui fait précisément que la création pour Van Que n’est pas un aboutissement mais une invention quotidienne.. Il passe d’une technique à l’autre, explore tous les mondes des arts plastiques avec une facilité déconcertante, . -.

Les œuvres de Van Que sont une véritable leçon de simplicité, de liberté. Sa grande force c’est sa technique infaillible. Elle lui permet de travailler dans l’immédiateté, de poser ses couleurs, de créer sans cesse des formes infinies si complexes mais qui apparaissent si simples.

Ses œuvres sont « très denses, très libres, très accessibles. La nature est tout. Moi, j’ai la liberté mais je respecte la nature».

Van Que apporte à ce festival d’aquarelle un souffle décapant, une vitalité peu commune prompts à bouleverser l'idée de la création même.




"La Montagne, Brioude
vendredi 18 juillet 2003"





lundi

Aline Llareus-Dinier : Pierre Lachkar


Pierre Lachkar

"Le critique d'art Aline Llareus-Dinier, diplômé des facultés de l'université de Toulouse"

Aline Llareus-Dinier : Armand Kouby

Juillet à Barcelone

"Le critique d'art Aline llareus-Dinier, diplômé des facultés de l'université de Toulouse"

Aline Llareus-Dinier : Mireille Duhalde

Mireille Duhalde


"Le critique d'art Aline Llareus-Dinier, diplômé des facultés de l'Université de Toulouse"

Aline LLareus-Dinier : Bernard SIX

Bernard SIX

"Le critique d'art Aline LLareus-Dinier, diplômé des facultés de l'Université de Toulouse"

Aline LLareus-Dinier : Albert Guillou

Albert Guillou


"Le critique d'art Aline LLareus-Dinier diplômé des facultés de l'Université de Toulouse"


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